Ma vraie nature
14,50 €
Une aventure qui questionne le monde, la relation à soi, aux autres, à l’environnement.
Une exploration magique de l’infini, où chaque pas réalisé nous rapproche des autres.
Un conte philosophique qui donne le vertige, des questions trop grandes, trop simples et trop complexes à la fois.
Un livre au coeur duquel on peut se perdre sans crainte…
Pour en savoir plus
L’histoire :
Mystères et rencontres de la différence, Zoé, Edgar, Armande et Nina, aussi Ozth, Anselme et Zibelin, des écureuils, un non-oiseau, un poisson-humain…
1 000 vies, des vies de colère, d’amour, de rage et de paix, des vies de rancoeur, de douceur, de guerre et de rire, des vies de peur, de tendresse, de leurre et de présence, des vies si différentes, si complémentaires, des vies humaines, animales, universelles.
Vous trouverez tout cela dans ce conte fantastico-philosophique qu’il est impossible de décrire.
Pour qui :
Le merveilleux prendra les plus jeunes, la profondeur gardera les plus âgés. Bien des adultes ayant pris ce livre pour l’offrir à un enfant l’ont gardé pour eux. C’est aussi un conte qui lu à voix haute émerveillera les plus jeunes dès 7 ans.
À propos :
Avec des dessins incroyables, on se perd aussi bien dans les illustrations que dans les lignes de ce livre. Le merveilleux est partout, le questionnement omniprésent. Vous pourrez le lire trois ou quatre fois que vous ne prendriez pas le même chemin.
« J’ai écrit cette histoire comme on part se promener, sans savoir où j’allais, sans savoir quand je reviendrais. Je me suis perdue entre les lignes. J’aime me perdre. C’est une source de surprises si l’on sait observer. Au détour des pages j’ai rencontré des fleurs et des rameaux philosophes, des non-oiseaux, des fleurs d’un jour et puis je me suis trouvée.
J’étais poisson, oiseau, écureuil, fleur, feuille, branche, arbre et même pierre. Je me sentis nager, voler, sauter. Je ressentis mes racines qui s’enfonçaient dans la terre, mes ailes qui me portaient au plus haut, ma légèreté de feuille, mon parfum de fleur et ma rudesse de roche. Je fus tout cela, non pas un mélange de tout, mais chaque chose, chaque être vivant à la fois.
J’étais riche de toutes ces vies, si différentes et si semblables. » Aline de Pétigny